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au Visa J-1

septembre 18, 2018

S’envoler pour un stage ou pour un job d’été aux Etats-Unis impose d’avoir avoir des documents en sa possession. Qu’ils soient exigés à la douane ou dans la vie de tous les jours, ces papiers sont nécessaires pour vivre un séjour réussi. Liste des documents à n’oublier sous aucun prétexte dans sa valise.

Tu viens de décrocher ton stage ou ton job d’été à Miami, à San Francisco, à New York ou à Los Angeles ? Avant l’excitant départ qui t’attend, tu dois préparer tes affaires. Dans cette situation redoutée, il est nécessaire d’être rigoureux. L’objectif est de ne rien oublier. Et, les vêtements ne sont pas les seuls affaires à mettre dans la valise d’un futur stagiaire ou saisonnier. Des documents, très divers, te seront exigés pour assurer ton voyage dans le pays de l’oncle Sam. Ce dernier a par ailleurs durci ses conditions d’entrée et de séjour. Le décret pris par le président Donald Trump le 27 janvier 2017 vise, en effet, à restreindre l’accès du pays aux ressortissants de sept pays (Syrie, Iran, Soudan, Libye, Somalie, Yémen et Irak). En cas de doute sur la situation migratoire des Etats-Unis, le gouvernement français recommande de s’adresser à l’ambassade américaine implantée à Paris.

Les papiers d’identité

La carte d’identité et le passeport sont inoubliables avant d’entamer un séjour de plusieurs mois à l’étranger. Ils permettent de justifier son identité auprès des autorités américaines compétentes. Une fois sur place, la carte d’identité peut être demandée pour la constitution de dossiers administratifs divers comme une potentielle embauche après le stage. Le passeport, lui, est un document de voyage où figurent le nom, la date, le lieu de naissance et la signature de son possesseur. Depuis 2009, le passeport électronique a laissé sa place au passeport biométrique doté de deux empreintes digitales du voyageur. A durée d’expiration limitée dans le temps, le passeport (10 ans) et la carte d’identité (15 ans) doivent être valides au moment du départ. Les démarches pour une première demande ou pour un renouvellement doivent se faire en mairie. Un mineur non-accompagné par ses parents aura besoin d’une autorisation de sortie du territoire signé par l’un de ses tuteurs légaux. Ces documents doivent être bien rangés dans un portefeuille ou dans un bagage à main.

Le Visa J-1 Intern, Trainee ou Work and Travel

Le visa est un document obligatoire pour entrer et séjourner aux Etats-Unis. Il en existe près d’une centaine qui s’adresse à des publics très variés : touristes, journalistes, voyages diplomatiques ou d’affaires. Dans le cadre d’un stage d’étude ou d’un emploi saisonnier aux Etats-Unis, c’est le visa J-1 qui sera le plus adéquat. En effet, il s’adresse particulièrement aux étudiants et aux jeunes diplômés. Il en existe trois sortes : Intern, Trainee et Work and Travel. Le visa est à demander auprès de l’ambassade des Etats-Unis, seulement une fois le stage validé par le sponsor et le document d’éligibilité DS 2019 transmis par le même organisme. Les risques de voyager sans visa sont beaucoup trop importants pour oublier de mettre son visa J-1 dans ses bagages. En effet, l’administration américaine peut exiger un renvoi immédiat pour celui qui ne détient pas son visa.

Les billets d’avion

Personne ne se risquerait à omettre ses réservations de vol au moment d’embarquer ? Et pourtant, des étourderies arrivent fréquemment. Les conséquences sont trop nombreuses pour faire l’impasse dessus. Imagine : il faudrait acheter un billet d’avion en urgence, et donc engager des frais supplémentaires malvenus. Ou bien reporter son séjour et le début de son stage. Dès la réservation faîte, il faut ranger ses billets d’avion avec soin jusqu’au moment du départ. Vérifier les dates d’aller et de retour, les horaires et les aéroports desservis est essentiel avant d’imprimer ses réservations. Pour optimiser au mieux le coût du départ, il existe des conseils. Comme celui de commander ses billets longtemps en avance.

Les cartes bleues classiques Visa ou MasterCard fonctionnent aux Etats-Unis. Attention à veiller au plafond de paiement et de retrait auprès d’un conseiller bancaire.

Le DS 7002, ou la convention de stage

Ce document est étroitement lié avec le certificat d’éligibilité, appelé DS 2019, qui valide la tenue d’un stage. Le système américain diffère de l’organisation française. En effet, les Etats-Unis ne fonctionnent pas avec une convention de stage. Son remplaçant administratif est le DS 7002. C’est à l’entreprise d’accueil de remplir ce document obligatoire qui comprend les détails du stage : dates de début et de fin, les missions exercées dans l’entreprise, le volume horaire hebdomadaire et le montant de l’indemnisation en cas de stage rémunéré.

L’assurance voyage

Pour pallier le moindre imprévu sanitaire, une assurance voyage est nécessaire. Celle-ci permet de couvrir les frais médicaux qui, aux Etats-Unis, peuvent être exorbitants. En effet, le pays de l’oncle Sam est champion du monde des tarifs pratiqués de santé. Par exemple, les hospitalisations peuvent se chiffrer en milliers d’euros. AXA, April, Smeno, Allianz, Chapka Assurances, plusieurs organismes proposent une assurance voyage. Il n’est pas simple de se retrouver au milieu de toutes les offres. Pour s’assurer au mieux, il est recommandé de prévoir des options liées au rapatriement sanitaire, aux frais médicaux et d’hospitalisation et à la responsabilité civile en cas de dommage créé à un tiers. Il est, par ailleurs, conseillé de voir son médecin dans l’objectif de faire un point sur son état de santé.

La carte bancaire aux Etats-Unis

Tu ne pourras pas assurer ton séjour sans moyen de paiement aux Etats-Unis. Rassure-toi :  les cartes bancaires classiques de type Visa et MasterCard sont valables outre-Atlantique. En revanche, avant le départ, il faut penser à vérifier les plafonds de paiement et de retrait afin notamment de couvrir des frais médicaux. Certaines cartes bleues requièrent également une activation pour fonctionner sur un plan international. N’hésite pas à passer auprès de ton conseiller pour faire un point sur les options à l’étranger de ton compte. Des banques prélèvent aussi une commission sur chaque règlement effectué. Pense alors à ne pas trop utiliser ta carte bleue pour des petites sommes.

Le permis de conduire internationale

Le futur stagiaire ou saisonnier doit embarquer avec soi son permis de conduire. Même dans le cadre d’un lieu de travail bien desservi par les transports en commun à proximité du logement. De plus, le permis est parfois demandé dans les annonces pour effectuer des missions à extérieur. On voit surtout cette condition dans le cadre d’un stage à vocation marketing ou commercial.  Mais, le permis français ne sera valide sur le sol américain que pour un séjour de moins de trois mois. En cas de voyage excédant les 90 jours, il sera demandé un permis de conduire international. La démarche – de surcroît gratuite – pour l’obtenir se fait en préfecture.

Pour optimiser au mieux son séjour aux Etats-Unis, nous te conseillons d’embarquer avec toi les versions papier et numérique, sur une clé USB ou à l’aide d’un cloud, de ces différents documents. Tu pourras ainsi les imprimer à n’importe quel moment de ton séjour.

septembre 11, 2018
septembre 11, 2018

Pour qu’un étudiant ou un jeune diplômé puisse effectuer son stage ou son job d’été aux Etats-Unis, il doit régulariser sa demande de visa J-1. Partir à l’aventure américaine sans ce précieux document officiel comporte des risques inutiles.

Voyager est une réelle opportunité de s’ouvrir au monde extérieur. Que ce soit un stage, un emploi saisonnier ou un séjour linguistique, c’est aussi un excellent moyen d’augmenter son employabilité, à savoir ses chances de trouver un emploi une fois les études terminées. Mais, voyager comporte un certain nombre d’obligations. Certains métiers – dans la relation clients, le marketing ou l’hôtellerie – requièrent par exemple de parler couramment une deuxième langue. Les règles de sécurité et de sûreté sont aussi des incontournables au séjour à la saveur international. Chaque pays détient sa propre législation en vigueur. Et, les Etats-Unis ne font pas figurent d’exception en la matière. Bien au contraire.

Le visa comme porte d’entrée

Tu es atteint d’une lourde pathologie appelée communément la phobie administrative et tu souhaites quand même partir aux Etats-Unis sans avoir décroché ton précieux sésame ? A savoir le visa J-1 qui permet de valider ton stage ou ton job d’été sur les terres de l’oncle Sam. Sache que c’est une très mauvaise idée !

En effet, fouler le territoire américain sans autorisation préalable est illégal, quel que soit le but du séjour : touristique, privée, professionnel ou d’affaires. Parfois confondu avec le passeport ou le titre de séjour, le visa est un document officiel collé sur son passeport permettant à une personne de rentrer et de séjourner sur le territoire américain. Il existe près de 80 visas différents qui s’adressent aussi bien à des touristes, des étudiants, des journalistes ou des entrepreneurs. L’un d’entre eux, le visa J-1, est spécialement conçu pour les étudiants et les jeunes diplômés souhaitant vivre une aventure mémorable outre-Atlantique durant plusieurs mois.

Le visa J-1 se décline de trois façons selon le profil du candidat et l’objectif pédagogique de son séjour. L’obtention du visa J-1 est l’ultime étape après avoir déniché un stage et après avoir signé avec un sponsor pour valider le séjour. Pour se le procurer, il est nécessaire de prendre rendez-vous auprès de l’ambassade des Etats-Unis en France. Dans une lettre signée par l’officier consulaire Lindsay Coffey, l’établissement implanté à Paris précise que pour ceux qui souhaitent effectuer un stage en Amérique du Nord, « l’obtention d’un visa J-1 est requis avant de partir pour les Etats-Unis ». Et de poursuivre : « Le visa J-1 est obligatoire pour tout stagiaire, même si le stage est pour un durée de 90 jours et n’est pas rémunéré ».

Pas de visa, renvoi immédiat

L’absence de régularisation d’un titre de séjour aux Etats-Unis est hautement risqué pour le mercenaire qui serait tenté par cette éventualité délictueuse. Surtout que, depuis le 27 janvier 2017, les conditions d’entrée pour les Etats-Unis – déjà renforcées suite aux événements qui ont eu lieu le 11 septembre 2001 – s’avèrent plus drastiques. A cette date, un décret présidentiel pris par Donald Trump entend réduire l’accès du pays américain aux ressortissants de sept pays, à savoir la Syrie, le Soudan, l’Iran, la Lybie, la Somalie, l’Irak et le Yémen. « Ceux qui arrivent aux Etats-Unis en n’ayant pas le type de visa correct risquent de se voir refuser l’entrée », explique l’ambassade des Etats-Unis à Paris. Et d’ajouter le danger « d’être renvoyés immédiatement dans leur pays d’origine ».

Selon le droit pénal américain, l’entrée illégale qualifiée « d’irrégulière » est considéré comme étant un crime pour un non-citoyen des Etats-Unis. La personne peut être condamnée et emprisonnée pour une période de six mois au maximum. En plus, l’auteur du crime peut écoper d’une lourde amende. S’il ne s’agit pas de la première infraction connu du fautif, la peine de prison peut aller jusqu’à deux années d’enfermement.

Passer la frontière sans le visa constitue une première étape avant un renvoi qualifié d’immédiat. Sans visa, le candidat au départ devient ainsi non-admissible dans le pays de l’oncle Sam. Le service d’immigration américain est extrêmement attentif à la réglementation.

A votre arrivée à l’aéroport John-F.-Kennedy de New-York ou celui de San-Francisco, un passeport en règle sera demandé au nouvel arrivant. Le visa doit obligatoirement être collé dessus pour envisager d’aller plus loin. Travailler sur place sans visa interdit en outre l’accès à des services parfois primordiaux comme l’ouverture d’un compte en banque, la souscription à une sécurité sociale ou encore la possibilité de passer le permis de conduire.

Que faire lorsque son visa a expiré ?

L’une des particularités de ce document obligatoire réside dans son caractère expiratoire. De la même manière que rentrer et travailler illégalement aux Etats-Unis constitue un crime, rester aux Etats-Unis une fois la date limite de visa dépassée est illégal et peut également être lourdement sanctionné.

Par exemple, rester six mois au-delà de la période autorisée et inscrite sur le visa constitue une infraction pour laquelle le fautif risque une interdiction d’entrée du territoire américain pendant trois ans. Cette inadmissibilité peut aller jusqu’à dix ans selon la gravité des faits.

Un visa ne peut être prolongé sans effectuer une demande préalable auprès du Département d’état des Etats-Unis équivalent à notre ministère des Affaires étrangères. C’est ce dernier qui gère les différentes ambassades implantées aux quatre coins du globe. Il faudra ainsi déposer une nouveau dossier afin de séjourner aux Etats-Unis plus longtemps ou sur une prochaine période. Quelle que soit la situation, il est vivement conseillé de se renseigner auprès de l’Ambassade américaine à Paris pour connaître les modalités d’un renouvellement de visa.

septembre 7, 2018

L’obtention d’un stage aux Etats-Unis passe par la recherche d’un sponsor. Cet organisme certifié par l’Etat américain a, entre autres, pour but de valider le stage. Focus sur le sponsor et ses intérêts pour le stagiaire.

Tu recherches actuellement un stage à l’étranger et plus précisément aux Etats-Unis ? Lors de tes recherches et de tes démarches, tu ne pourras pas passer à côté de la notion encore méconnue de sponsor. Attention, le sponsor n’est pas l’équipementier qui placarde sa marque partout ou fait de la publicité dans une enceinte de sport.  Il ne rémunère pas non plus le stagiaire ! Dans le cadre d’un stage aux Etats-Unis, le sponsor officialise en quelque sorte ton éligibilité à un programme d’échange culturel. Quelques critères d’éligibilité sont requis pour effectuer un stage à l’étranger :

  • Être âgé d’au moins 18 ans ;
  • Faire des études en cours dans une université française ou être jeune diplômé pouvant justifier d’une expérience professionnelle ;
  • Trouver un stage qui a un rapport avec le domaine de formation étudié.
  • Avoir le niveau de langue requis par l’offre de stage pouvant aller de la simple acquisition de bases à un niveau bilingue. En règle générale, il est demandé de « parler couramment » l’anglais.

Qu’est-ce qu’un sponsor ?

Pour réaliser un stage à l’étranger et ainsi embrasser le rêve américain à Miami, New York, Los Angeles ou San Francisco, tu dois être sponsorisé. Un sponsor est un organisme ou une fondation privée agréé par le Département d’Etat des Etats-Unis, chargé des relations internationales, dont l’ambassade détient des quotas annuels de visas. InterExchange, CIEE, ASSE ou encore Intrax, les différents sponsors disponibles sur le marché gèrent les programmes d’échanges culturels à destination des Etats-Unis. L’objectif du sponsor est de s’intéresser à l’employeur pourvoyeur d’offres de stage à l’international. L’organisme à but non-lucratif passe à la loupe aussi bien le dossier monté par le futur stagiaire que les missions qu’il effectuera dans l’entreprise. Il s’assure ainsi de l’intérêt pédagogique du stage et la faisabilité du projet. Tous les domaines ne sont pas pris en compte par le sponsor. Pour remplir au mieux son dossier en anglais, il est important de se référer à un intermédiaire tel qu’une agence de placement afin de tester son éligibilité. Pour rappel, le stage effectué à l’étranger doit avoir un rapport conséquent avec les études suivies en France par le futur expatrié.

Une fois débarqué aux Etats-Unis, le stagiaire devra se rendre au service des douanes pour faire authentifier son passeport et son visa.

Payé par le candidat, le sponsor propose divers services pour assurer la bonne tenue du stage. Le sponsor fournit par exemple une assurance maladie. C’est vers ce dernier que devra se tourner le stagiaire en cas de couverture sociale et médicale. Par ailleurs, il peut répondre aux besoins du stagiaire comme celui de prolonger son stage ou redéfinir les missions. Si le stagiaire a besoin de voyager en dehors des frontières américaines pendant son stage, il devra se tourner vers son sponsor. L’organisme-sponsoring devient, de facto, un interlocuteur de choix sur place. Passer par un sponsoring américain est indispensable grâce à l’analyse et à l’accompagnement pédagogiques qu’il effectue. De plus, le sponsor remet au candidat le nécessaire formulaire officiel d’éligibilité également appelé le DS 2019.

Le sponsor délivre le DS 2019

Le DS 2019 – ou Certificate of Eligibility for Exchange Visitor (J-1) Status – est un certificat d’éligibilité fourni par le sponsor. Il n’est donné que lorsque le dossier a été vérifié et validé par l’organisme. S’il facilite l’obtention du visa J1 (voir plus bas), il ne le garantit pas pour autant. Ce formulaire administratif d’une page est une première étape en vue de décrocher son visa auprès de l’Ambassade des Etats-Unis basée à Paris. Dans le formulaire, plusieurs champs doivent être remplis. Les coordonnés de l’étudiant, les noms du sponsor et de l’entreprise d’accueil, la durée et un bref descriptif du stage ainsi que les fonds nécessaires et estimés pour la durée du séjour doivent être renseignés. Il est par ailleurs conseillé de conserver son DS 2019, même une fois le stage passé. En effet, il pourra être redemandé dans le cadre d’un nouveau stage aux Etats-Unis.

Passage obligatoire pour obtenir le visa J-1

Il existe près de 80 visas différents pour pouvoir fouler le sol américain. C’est d’ailleurs une obligation de la part d’un candidat à l’expatriation dans l’un des cinquante états composant les Etats-Unis. Ce document est exigé par la douane américaine pour pouvoir entrer et séjourner dans le pays de l’oncle Sam. Il en existe pour les touristes, pour les journalistes ou encore pour les voyages d’affaires. Le visa J-1 concerne, quant à lui, plus spécifiquement les étudiants ou les jeunes diplômés.

Pour les stages, il en existe deux sortes : le visa J-1 Intern et le visa J-1 Trainee. Le premier dispositif s’adresse aux étudiants de l’enseignement supérieur et aux jeunes diplômés depuis moins d’un an qui souhaitent partir pour un stage pendant douze mois au maximum. Dans ce cadre-là, aucune expérience professionnelle n’est demandée. Le visa J-1 Trainee concerne essentiellement les diplômés depuis plus d’un an qui peuvent justifier d’une expérience professionnelle égale à une année dans le domaine recherché avec le stage. Ce dernier peut durer jusqu’à dix-huit mois. Les personnes sans diplômes ne sont pas mises sur la touche. Pour bénéficier du programme Trainee, un candidat au stage doit avoir cinq années d’expérience professionnelle dans le domaine du stage.

Toutes ces démarches peuvent apparaître comme lourdes et contraignantes. Cependant, il est vivement recommandé de se faire aider par une agence de placement spécialisée. Cet intermédiaire entre le candidat et le sponsor aiguille l’étudiant au moment de réaliser son dossier.  Habitués à travailler avec les sponsors, les conseillers de l’agence connaissent parfaitement les exigences de ces organismes et facilitent ainsi la finalité des démarches, à savoir la validation du dossier et l’obtention du fameux visa.